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Calvin
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Calvin's Commentaries, Vol. 32: Matthew, Mark and Luke, Part II, tr. by John King, [1847-50], at sacred-texts.com
Index of French Words and Phrases
- (Les gens) le cognurent incontinent
- A Dieu son Pere
- A batailler ouvertement contre Dieu
- A bon droict done Christ royant ses deux disciples eslevez d’une vaine gloire, les arreste a penser aux choses qui concernent le devoir de leur vocation
- A bon droict on dit simplement, L’homme, encore que cela ne convient qu’a l’ame
- A bon droict retire ses disciples de ceste nonchalance et stupidite de suyvre les aveugles, et pour leur faire plaisir d’aller tastonnant en tenebres comme eux
- A ceste cause en l’Escriture Dieu commande aux transgresseurs de retourner a leur coeur
- A ceste fin de renverser et destruire
- A este un acte special et extraordinaire, duquel si on vouloit faire une reigle generale, ce seroit un abus
- A faire bonnes oeuvres
- A faire examen pour cognoistre les personnes
- A fin de monstrer qu’au second lieu il parloit de quelque autre chose que de la personne de Pierre
- A fin de n’approcher de luy, et de ne recevoir sa doctrine
- A fin d’adoucir le Iuge, et destourner son iuste courroux
- A fin que les disciples ne facent conscience d’aucune sorte de viande
- A fin que sa puissance soit tant mieux cognue, quand on verra les avancemens qu’on n’avoit iamais attendus
- A la capacite et apprehension commune de l’entendement humain
- A nous lier les uns avec les autres en toute sainctete et crainte de Dieu
- A porter la croix qua Dieu leur met sur les epaules
- A quel propos aussi empesche-t-il la terre
- A scavoir qu’il menacoit et faisoit taire les esprits immondes
- A tous fideles
- A use d’un terme convenable a la coustume du pays
- Adonc usant de menaces il leur commanda qu’ils ne le dissent a personne
- Afin d’estre plus libres pour s’employer a meilleures choses a la gloire de Dieu
- Afin qu’on ne pensast point qu’il prinst cela a desplaisir, et qu’on lui attribuast l’honneur de Roy contre son vouloir
- Ains il prend fin
- Ainsi Christ accorde estre vray, ce qui ne l’est pas de faict, mais qui pourroit sembler l’estre en apparence a gens qui ne scavent pas bien iuger et discerner les choses
- Ainsi envoy, incontinent le bourreau
- Ainsi est celuy qui thesaurize (ou, a fait grand areas de biens)
- Ainsi les vaines et folles pensees de la chair font qu’a tous coups nous defaillons au milieu des affaires, comme si nous estions plongez en l’eau iusques par dessus la teste
- Ambassadeurs ou prescheurs temporels
- Ami des Peagers et gens du mauvaise vie
- Apres avoir conqueste le royaume
- Apres avoir recognu le bien qui est en eux par la grace de Dieu
- Apres ces choses il veint en Capernaum
- Apres la cognoissance du peche s’ensuit aussi la confession
- Au feu qui ne s’esteint point
- Au reste, quand il dit que les maux qu’un chacun fait procedent de la bouche,
- Auquel Dieu a voulu que ses Prophetes ayent soustenu de grans combats et rudes alarmes
- Ausquels il donne l’Esprit d’adoption, qui est l’Esprit de la liberte
- Ausquels il respondit, et leur dit, La nation meschante et adultere (ou, bastarde)
- Aussi en la personne de ce bon pere il nous propose l’affection de Dieu
- Autant que l’ouye simple est comme quand on regarde en un mirroir, et que la memoire s’en escoule incontinent
- Aux Docteurs de la Loy
- Aux nerfs appelez Optiques, qui sont les conduits de la veue
- Aux troisiemes, le ble estant en herbe est estouffe
- Avance-toy incontinent
- Avec l’estat present du monde, qui est comme tout obscurci de brouillars
- Avec sa femme
- Avec tremblement et incertitude de conscience
- Avoyent follement desire une chose qu’ils n’ont peu obtenir
- Benit soil celuy
- Bien-hereux sera celuy qui mangera
- Car Christ ne se contentant point de leur faire voir de leurs propres yeux sa vertu, a voulu mesme qu’elle passast par leurs mains, et qu’ils la touchassent
- Car arguer signifie convaincre par argumens, et remonstrer par bonnes raisons
- Car cela n’est proprement autre chose que se retirer des commencemens, et ne vouloir entrer a la premiere lecon de son eschole
- Car combien qu’il voulust parler en telle sorte que les reprouvez n’y entendissent rien, il a toutesfois tellement modere son style, qu’en leur stupidite ils ont senti que son parler avoit quelque vertu celeste et Divine
- Car elle est de mauvaise vie
- Car encore que ‘les biens’ abondent a quelqu’un, si n’a-il pas vie par les biens
- Car il avoit beaucoup de richesses
- Car il n’advient point qu’aucun Prophete meure hors de Ierusalem
- Car il semble par ce moyen qu’il commande aux siens de tenir leur coeur contre les pervers, et leur refuser pardon
- Car il y a temps d’ouir, et temps de faire, et de mettre la main a la besongne
- Car il y avoit si pen de la iusques en Ierusalem, qu’il y fust aisee-merit alle a pied
- Car ils disoyent qu’il estoit hors du sens
- Car ils n’avoyent point entendu le faict des pains, d’autant que leur coeur estoit aveugle, ou, estourdi
- Car la le propos sera touchant le droict et legitime usage des dons de Dieu
- Car les chiens mangent, ou, mais aussi
- Car l’objection s’addresse a la personne, comme on dit, et non pas a la chose: c’est a dire, Christ ne regarde point ce qu’a la verite il falloit dire de ces Exorcistes, mais ce qu’en pensoyent les scribes
- Car mon fils que voyci estoit mort, et il est retourne a vie: il estoit perdu, mais il est retrouve
- Car selon mon avis ce mot et se doit resoudre en Car, ou Pource que
- Car voyla ses mots, Estant monte sur an asne
- Ce mal-heureux ennemi nous manie tout a son aise, et regne en nous comme en se iouant
- Ce n’est pas a moy a le dormer
- Ce pere de toute finesse et malice
- Ce peuple-la a vileinement et meschamment mesprise l’honneur auquel Dieu le convioit
- Ce que les fideles experimentent ton les iours en eux-mesmes estre vray
- Ce qu’ayant ouy les disciples cheurent sur leur face en terre
- Ce qu’il aime donc le plus, et ou il prend un souverain plaisir, c’est ceste place vuide qui se fait quand l’homme ne tient conte de la grace de Dieu, et est nonchalant d’en bien user
- Ce sont autant d’avertissemens proufitables, par lequel Dieu nous convie a repentance
- Ceci a este un signe de recognoissance du bien receu de Christ
- Ceci semble a plusieurs estre trop extreme et rigoureux
- Cela ne sera point tirer trop loin les parollcs de Christ
- Cela n’empesche point que Dieu n’use de leur service
- Celuy qui oit la Parole, et l’entend, a scavoir celuy qui porte et produit fruict
- Cependant neantmoins il ne laisse point d’estre vray, que le Seigneur tient ses secrets cachez, a fin que le goust et la fruition d’iceux ne parviene aux reprouvez
- Cependant une multitude s’estant assemblee a milliers
- Ces dons qui estoyent procedez de sa pure liberalite
- Cest espece [de diablos] ne sort point
- Ceste espece [de diables] ne sort point
- Ceste femme, profane de nation
- Ceste hautesse et profondeur des iugemens de Dieu
- Cette cruelle diablesse
- Ceux a qui il estoit
- Ceux qui meurent alaigrement pour Christ
- Ceux qui sont cheus et ont failli
- Christ laissant la ces orgueilleux, se retourne vers les dociles
- Christ n’a point entreprins, ou essaye une chose a l’aventure, et de laquelle l’issue fust incertaine: mais a veu que la ruine de Satan s’en en-suyvroit
- Combien cela est faux et frivole
- Combien que ceste preparation a recevoir la grace de Christ despouille desia entierement les hommes, et monstre qu’ils sont du tout vuides de vertu
- Combien que les richesses rendent un homme honorable au monde
- Combien que l’honneste naturelle condamne un tel marriage
- Combien que nous soyons subiets a mille dangers et inconveniens
- Combien qu’il faut resoudre le verbe du temps present en un temps passe: comme quand il dit, Ses pechez luy sont pardonnez:
- Combien qu’il il differe de se courroucer pour eux; ou
- Combien qu’il soit tousiours necessaire de gemir
- Combien y-a-il de mercenaires en la maison de mon pere, qui ont force pain
- Comme aussi en d’autres passages il s’accomodi a ce qui estoit lors ordinaire, et use des termes communes
- Comme aussi le proverbe ancien portoit, Que la langue est le charactere ou pourtrait du coeur
- Comme choses absurdes, et contre l’opinion commune
- Comme c’estoyent gens tout pleins d’un malin vouloir
- Comme si Christ entendoit qu’il y a assez d’un mets, ou d’une sorte de viande
- Comme si par force et contreinte il fust renu endurer la mort
- Comme si tout alloit a souhait et comme si ce qu’on leur a dit estoit aussi doux a avaller que sucre
- Comme souventesfois on verra de meschans garnemens sans crainte de Dieu, qui diront tout haut et hardiment qu’ils appellent au jugement celeste
- Comme s’ils estoyent escrits en une rolle, ou enregistrez en quelque livre
- Comme une aide pour vous exciter et enflamber
- Comment il est possible que Dieu punisse
- Comment ils le mettroyent a mort
- Commoe nous voyons que le pere de famille tire de son cellier ou grenier toutes sortes de provisions
- Comprend tous devoirs d’obeissance, secours, et soulagement
- C’a este un amusement de gens oisifs, et qui ne scavoyent que faire
- C’est donc une louange et recommendation singuliere
- C’est le bon marchand
- C’est le profit ou l’avancement de toute la compagnie des fideles en commun
- C’est par Beel-zebub, prince des diables, qu’il iette hors les diables
- C’est un meslinge faux et pervers
- C’est une facon de parler propre aux Hebrieux
- C’est une figure et facon de parler que les Latins nomment Apposition
- C’est une gourmandise plustost convenable a des porceaux qu’a des hommes
- De Monade
- De ce qu’ Herodias a estime un grand avantage pour elle de faire mourir Iean
- De cognoistre le secret
- De cognoistre les secrets
- De consolations de la vie presente
- De faire aucune assistance au pere et a la mere
- De iour en iour
- De la doctrine que nous venons de voir
- De la lumiere et clarte qui est en la maison
- De la primaute
- De l’esprit et affection d’Elie
- De l’orgueil de sa vie passee
- De perpetuelle virginite, comme on dit
- De peur que ceste ardeur et alaigrete qui est de grand monstre pour le commencement, ne s’en aille bien tost en fumee comme un feu d’estouppes, ainsi que porte le proverbe commun
- De peur qu’ils nous tirent en perdition avec eux
- De pourpre et de soye
- De se rendre serviteur a ses compagnons
- De toutes choses qu’ils demanderont
- De toutes sortes de choses
- De vivre tousiours avec une femme
- De vouloir ainsi mettre la main sur la table des enfans, au milieu de souper
- Declarent qu’ils croyent qu’il est le Christ et le Messins
- Delaissant le bon vieil hemme de pere
- Demande-moy ce que tu voudras
- Des choses presentes, ou, de ce que vous avez
- Des fideles
- Des questions curieuses et difficiles
- Des tabernacles terriens
- Desquels les premiers ne retienent pas la semence en leurs coeurs pour germer
- Desquels tous la condition est semblable de nature
- Deux
- Devant le siege iudicial de sa maieste
- Dieu prononce que par son ordonnance il a eleu celuy qu’on verra venir ayant les marques qu’il met la
- Diversement, aux uns plus, aux autres moins
- Dix drachmes
- Dont les troupes s’emerveillerent
- Dont nous avons a penser quelle punition et damnation nous sentirons
- Du vray ’thresor’ qui s’en fiera en vous
- D’autant qu’elles ont suyvi leur Liberateur, nonobstant l’ignominie du monde qu’il leur faloit endurer en ce faisant
- D’autant qu’ils font bien plus grand cas de leurs traditions humaines, que des commandemens de Dieu
- D’avoir change d’estat et de facon de vivre
- D’heure en heure elle seroit revoquee en doute
- D’ou vienent ces choses a cestuy-ci
- D’ou vient donc qu’il y a de l’yvroye
- D’un accord
- D’un oeil pur, et sans mauvaise affection
- D’un pere terrien
- D’une chose caduque, et qui n’est qu’une ombre
- D’une telle mecognoissance et fierte
- D’une troupe de gens incognus, et de petite estime
- Elles avoyent este forgees en leur boutique
- En affectant des termes exquis, et bien remplissans la bouehe
- En apres, ceste badinerie d’eau beniste est appliquee a faire exorcismes et coniurations, et ils croyent fermement qu’elle a vertu d’effacer les pechez
- En cas qu’ils l’eussent trouve bon maistre a leur gre
- En ce monde
- En ceste locution Hebraique il y a une vehemence et proprie plus que les mots n’emportent de prime face
- En ceste nuict ton ame to sera ostee, ou, on to redemandera ton
- En considerant la circonstance de l’exhortation qui est ici adioustee, il est aise a iuger que cestuy-ci estoit mene d’une telle affection perverse
- En eux-mesmes, ou, a l’encontre d’eux-mesmes
- En guairissant toutes sortes de maladies en toutes personnes
- En la conduite du banquet, et bruit de mesnage
- En la montagne
- En lieu que l’autre n’a pas mesme daigne le baiser par une facon commune de civilite
- En premier lieu, donnez-vous garde
- En redressant ce qu’il avoit dit un peu trop asprement, comme il leur sembloit
- En sorte que c’est temps perdu de le chercher ailleurs
- En sorte que c’estoit tousiours pour esblouir de plus en plus les yeux de l entendement du peuple
- En sorte que la fiance de l’homme est en ses greniers, ou en ses coffres
- En sorte que quelques empeschemens qu’ils ayent scen y mettre, encore est—elle venue au dessus, et s’est monstree en quelque maniere
- En sorte qu’il nous tient le pied sur la gorge plus estroitement que devant: et qu’en cela nous recevons une iuste recompense et punition de nostre nonchalance
- En tous actes concernans la service et la parolle de Dieu
- En usant de termes communs
- Encore qu’ils ne la cherchent point pour leur regard particulier, mais seulement pour avoir occasion de profiter plus en d’autres endroits
- Encores mesme qu’ils se monstrassent import uns et facheux en leurs requestes
- Es lieux tres-hauts
- Es tres-hauts lieux
- Esquelles le laboureur ne perd pas du tout sa peine
- Esquelles les plus parfaits mesmes ont besoin d’estre supportez, et qu’on leur pardonner
- Est nomme maintenant de l’une, maintenant de l’autre ville
- Estans prests a recevoir ce qu’il plaira a Dieu leur envoyer
- Estans victorieux par dessus ceste frayeur naturelle
- Estant entre en Iericho, il alloit par la ville
- Estant espandue ca et la comme le b1e qu’on iette en terre
- Estoit aucunement contreint en soy mesme de luv porter l’honneur, et ne l’osoit pas mespriser
- Estoyent des exercises volontaires, et inventez a plaisir
- Et
- Et (ou
- Et adveint quarid ceux-la furent departis d’avec luy
- Et apres cela tu mangeras et boiras
- Et au troisieme iour ie pren fin
- Et aveques menaces leur defendit
- Et cela c’est desfier Dieu, et luy faire la guerre, comme les Geans des Poetes, ainsique porte le proverbe Latin
- Et cela est estre sage a sobriete, d’acquiescer au seul bon plaisir de Dieu, et nous y arrester paisiblement, plus que s’il y avoit dix mille raisons devant nos yeux
- Et cependant est envieux et marri
- Et cependant les scribes tenoyent Christ pour estranger
- Et cependant neantmoins la renversent et falsifient, s’arrestans au seul service charnel, auquel ils prenent grande peine
- Et comme ses richesses sont infinies, et ne se peuvent espuiser
- Et de faict, c’estoit mal avise a elle de vouloir ainsi rompre son propos, lors qu’il enseignoit
- Et de faict, il ne se pouvoit faire que ces bons personnages ne fussent tous ravis, et comme enflambez d’un grand desir de la delivrance promise
- Et de faire flechir les coeurs des hommes, pour accorder ce qu’il luy plaist
- Et des ce mesme instant sa fille fut guairie
- Et d’antant plus est detestable la sophisterie des Theologiens Scho- lastiques, ou Sorbonnistes, lesquels ont ose forger leur merite, qu’ils appellent De condigno
- Et effacans l’amour de la crainte de Dieu
- Et en aura tant plus
- Et en donna aussi
- Et en escri cinquante
- Et en leurs graces apres le repas, ils prenent le dire de la femme, laissans la correction qui estoit le principal
- Et estans dehors envoyerent quelques uns vers luy pour l’appeler
- Et fay grand’chere
- Et il leur defendit avec menace qu’ils ne dissent [cela] de luy a personne
- Et incontinent les laissera aller
- Et la aussi on trouvera la signification de ce mot Mammona, lequel est ici mis, et que nous avons traduit Richesses
- Et la petit asnon de celle qui est sous le ioug
- Et le feirent asseoir sur iceux
- Et le iette [arriere] de toy
- Et les derniers seront premiers
- Et les face peter pour faire peur a qui bon luy semble
- Et les frottoit d’ongnement
- Et leur commande d’aller alaigrement et en diligence, a fin que bien tost ils ayent fait une course par tout le pays de Iudee
- Et l’Evangile est annonce aux poures
- Et l’interroga que c’estoit
- Et me rompe la teste
- Et mesmes plusieurs sont contens d’user de simplicite et fidelite en de petites choses, a fin d’attraper puis apres un grand profit tout d’un coup
- Et mettre leur salut en la confession de leurs pechez, et remission d’iceux
- Et ne pouvoyent entendre ce qu’il leur disoit
- Et ne se soucient seulement que d’eviter le blasme et la moquerie des hommes
- Et ne signifie pas ce que communeement nous appelons pecheur
- Et n’en sont point reprehensibles
- Et par un temps il n’en voulut rien faire
- Et peu de iours apres
- Et pourtant de peur que le Iuge celeste ne nous renvoye au diable avec nos bonnes affections et intentions
- Et pourtant le vice est tousiours interieur, et ne vient point d’ailleurs
- Et quand les disciples furent venus outre, ils avoyent oublie a prendre les pains
- Et qui ne doit pas estre escoutee par acquit
- Et se ietta en terre sur sa face
- Et semblables reveurs
- Et ses disciples l’interroguerent, dema, dans quelle estoit ceste similitude
- Et suiete a changer souvent de demeurance
- Et s’il avoit este absous de la condamnation qu’il avoit encourue
- Et s’il n’y pent entrer de front et apertement, il est assez fin pour s’y fourrer secretement par dessous terre, ou par quelque fente a coste
- Et taschoit a veoir lequel estoit Iesus
- Et tout le peuple qui oyoit cela, et les Peagers qui estoyent baptizez du baptesme de Iean, iustiferent Dieu
- Et voyci, il y a ici plus que Ionas
- Et voyci, il y a ici plus que Salomon
- Et voyci, ils veirent Moyse et Elie parlans avec luy
- Et ‘toute’ maison ‘divisee’ contre soy-mesme dechet
- Eussent offense plus que tous les habitans de Ierusalem
- Eux donc estans partis alloyent de village en village a l’entour
- Eux donc estans partis prescherent
- Exclud toute merite de sa part
- Faisant par son sacrifice satisfaction pour les pechez du monde
- Gardons premierement de mespriser un seul moyen par lequel Die nous convie
- Gourmand et; yvrongne
- Herodias cherchoit occasion
- Horace, Poete Latin, dit parlant en la personne d’un avaricieux
- Ici Christ prenant occasion des propos precedens
- Ie confesse bien qu’en la langue Grecque il n’y a pas grande difference entre le mot qui signifie une pierre, et celuy qui signifie un homme nomme Pierre
- Ie n’y contredi point
- Ie partiray d’icy, et m’en iray a mon pere
- Ie repond, Qu’a parler proprement, il ne l’a pas permis: mais d’autant qu’il ne l’a pas defendu estroittement, il est dit qu’il l’a permis
- Ie te ren graces
- Ie to ren graces
- Ie to ren graces, que tu as cache
- Iesus,
- Il a l’esprit immonde
- Il aiguise tant plus son appetit enrage de nous mal-faire
- Il alloit de ville en ville, et de village en village
- Il avoit bien merite de trouver puis apres un pere rigoreux, et qui teint son coeur contre luy iusqu’au bout
- Il dit aussi
- Il entend qu’ils sont enfans bastars
- Il est ainsi, Pere, pourtant que ton bon plaisir a este tel
- Il est dit pour ceste cause, que Dieu donne la coupe a boire
- Il est plus facile qu’un Chable passe
- Il est plus grand que les autres herbes
- Il est vray que ceste erreur n’est pas d’auiourd’huy, mais est bien ancien
- Il leur advient ce que le Prophete Isaie a experimente
- Il leur dit
- Il leur est besoin de tourner bride, et de s’accoustumer a tout cela
- Il ne faut pas conclurre par cela que la repentance, ou conversion, soit cause de nous faire avoir remission et pardon de nos pechez; comme si Dieu prenoit a merci ceux qui se convertissent, pource qu’ils en sont dignes, et le meritent
- Il ne faut pas penser qu’elle eust regard a Marie
- Il ne pent pas estre nostre deteur
- Il ne s’ensuit pas pourtant qu’il ait impose loy
- Il ne va pas chercher fort loin les choses pour poindre les consciences de ses adversaires
- Il ne vent point ici amener le conseil secret de Dieu
- Il n’est pas dit ici que la dilection ou amour des hommes envers Dieu soit la cause de la remission des pechez
- Il n’estoit ia besoin de ietter de l’huile au feu pour enflamber davantage le mal
- Il n’y a celuy qui ne fust estonne d’un tel monstre
- Il n’y a ne puissance, ne industrie, ou dexterit
- Il n’y a nul bon, sinon un seul, c’est Dieu
- Il prend PLUSIEURS, non pas pour quelque certain nombre, mais pour les autres: car il fait une comparaison de sa personne a tout le reste des hommes
- Il se fait accroire qu’il sera en repos, et qu’il pourra continuer sa meschancete sans aucune crainte
- Il se vengera contre les traistres, et les punira de leur rebellion
- Il semble que ce qu’on leur donne soit autant de perdu
- Il semblera, a l’ouir parler, qu’il ait une purete Angelique
- Il sera (ou
- Il vent toutesfois cependant que les ministres soyent ambassadeurs pour porter et publier sa parole
- Il y en d’aucuns de ceux qui sont ici presens
- Ils avoyent songe ceste calomnie pour l’avoir toute preste
- Ils disent qu’il guarit, et remet en sante
- Ils font faire de grans bruits: il semble que les villes et citez doyvent tourner ce que dessus dessous, tant y a grande esmotion
- Ils furent esmerveillez et esbahis de voir cela advenir
- Ils imaginent que c’est l’entree du regne de Christ, et leur semble qu’ils y sont desia
- Ils ne laissent pas toutesfois de ronger, comme par despit et d’un vouloir malicieux
- Ils ne peuvent iouir a leur aise des biens qu’ils ont, sinon qu’ils en-trent comme en une stupidite, et effacent tout sentiment de leur conscience
- Ils ne pouvoyent pas mesme prendre leur repas
- Ils sortirent pour le saisir
- Ils tournent incontinent bride
- Incitera les autres a mal faire, et a nous offenser
- Iuques a ce que le Seigneur nous face sentir l’effect de cette vertu incomprehensible
- Iusques a ce qu’ayant par sa mort accompli la satisfaction des pechez du monde
- Iusques a ce qu’il retrouve la proye qu’on luy a ostee d’entremains
- Iusques a ce qu’ils sentent qu’on le poigne a bon escient
- Iusques a ce qu’on voye Elie et Henoch retourner en ce monde
- Iusqu’a ce qu’il se soit acquitte au bon plaisir du maistre; et qu’on luy dise, C’est assez
- Iusqu’a taut qu’ils ayent veu le regne de Dieu
- I’en rend quatre fois autant
- La bonne liqueur
- La fausse persuasion et presomption de ee ieune homme
- La fin de cest homme est pire que le commencement
- La foy temporelle, qui est comme le germe de la semence
- La magnanimite et constance admirable de Iesus Christ
- La ou nous avons traduit, a veue d’oeil,
- La parole de Dieu de sa nature est tousiours pleine de lumiere et clairte
- La parole pure, droite, et honneste
- La pure et simple bonte
- La servitude que les femmes ont a porter
- La vraye definition
- La vraye saison et le temps opportun de l’abolissement d’iceluy
- Laquelle est receue et advouee es cieux
- Laquelle estoit courbe, et ne pouvoit aucunement se dresser
- Laquelle tant soudainement gaigne les coeurs des hommes d’une facon non accoustumee, et y cause des mouvemens merveilleux
- Le Baptesme, qui suffit une fois receu
- Le Fils le vent reveler, ou, donner a cognoistre
- Le Pharisien se tenant l’a
- Le mauvais
- Le mot Grec que nous avons rendu par De
- Le mot Grec signifie simplement se reculer et s’en aller
- Le mot dont a ici use l’Evangeliste est celuy mesme que quasi par tout on tourne,
- Le peuple en a fait un office ordinaire sans regarder comment
- Le regne de Dieu ne viendra point a veue d’oeil, ou, avec apparence
- Le roy estant fort marri, ne la voulut point’ toutesfois’ esconduire ou reietter
- Le royaume
- Le translateur Latin ancien
- Le voeu qui a este comme un licol pour tenir les poures ames enserrees de court
- Lequel estant plein, ‘les pescheurs’ le tirent en haut sur la rive: et estant assis mettent le bon a part en leurs vaisseaux, et iettent hors ce qui ne vaut rien
- Lequel les Grecs nomment Synedrion,
- Les Docteurs de la Loy
- Les Romanisques repliquent a l’encontre
- Les autres plus subtilement, mais mal a propos, traittans ici de l’unite: comme si par ce mot de Un, Iesus Christ eust voulu exlurre tout nombre
- Les autres, que Dieu parlast a eux du ciel en personne
- Les benit, et les rompit
- Les didrachmes, dont est yci parle, n’estoit pas un peage qu’on payast a passer d’un coste en autre de la mer
- Les dix
- Les mains communes
- Les miracles et signes qu’il faisoit par sa vertu Divine
- Les mots n’emportent pas qu’un Ange n’ait autre charge que de veiller tousiours sur cestuy-ci ou sur cestuy-la
- Les premiers autheurs de ces loix ne disoyent pas qu’ils voulussent commander rien de nouveau
- Les presentes choses,
- Les seconds semblent bien l’avoir gardee iusques a venir a germer
- Les voix retentissent pour luy faire honneur, et le recevoir en grande ioye et triomphe
- Lesquels convertissent au dommage et a la ruine de l’homme
- Lesquels ne vont point rondement, et n’ont une affection droite
- Lesquels nous devions plustost tascher d’amener a salut
- Lesquels par scandales auront donne occasion de faire perdre et damner leurs freres
- Lesquels sont exempts de tous imposts, eux et leurs domestiques
- Lors il commanda expressement a ses disciples
- L’Escriture dit que nous oftensons ou scandalizons cestuy la
- L’aise et la trop grande abondance
- L’amour de tous les peres de ce monde
- L’ayant prins a part
- L’estat et la commission de Iean
- L’homme ennemi, (ou, quelque ennemi
- L’mpiete des Lucianistes et des Atheistes
- L’orgueil et la presomption des Scribes
- Mais Iesus, cognoissant leurs pensees, leur dit
- Mais aussi diminue le bien de la maison, et en emporte une bonne partie
- Mais cependant il faut tousiours aviser quelle difference il y a entre les allegories et le vray sens naturel d’un passage
- Mais ceste sorte [de diables] ne sort point
- Mais ceux ausquels il est apparelle de mon l’ere [l’auront]
- Mais c’est autre chose de la doctrine: car il ne faut iamais endurer les erreurs meschantes qui corrompent la purete de la foy
- Mais en telle sorte que Dieu se rend volontairement deteur, sans qu’il y soit tenu
- Mais estant cree et ordonne
- Mais il sera [donne] a ceux ausquels il est prepare
- Mais les coeurs ne sont point tellement cultivez et preparez, qu’ils ayant une douceur pour nourrir et entretenir ce qui est commence
- Mais les previent par sa bonte et misericorde paternelle
- Mais luy cognoissant leurs pensees
- Mais luy respondant leur dit, Ceux-la sont ma mere et mes freres, qui oyent la parole de Dieu, et la mettent en effect
- Mais mettons le cas que ce qu’ils disent de Pierre soit hors de doute
- Mais non pas a ce qui s’accomplit es hommes
- Mais par leur ingratitude ils se sont eblouis l’entendement, a fin de ne faire leur profit de ce qu’ils voyoyent devant leurs yeux
- Mais pour distinguer et mettre difference entre les pechez secrets, et les offenses manifestes
- Mais pource qu’il ne peut estre ouy a cause du bruit du peuple, qu’il s’en alla, l’autre porte de la ville par laquelle Christ devoit sortir, pour l’attendre la au chemin
- Mais que c’est une prompte affection de faire bien a ceux qui sont en necessite
- Mais se laissent trop aisement transporter d’une temerite ne voyans pas le mal qu’ils font
- Mais tant s’en faut que Christ ait esgard a ceste objection pour lascher quelque chose de son dire, que mesmes il dit notamment et expressement que sans fin ne terme on doit tousiours pardonner
- Maistre
- Mangeans et beuvans de ce qui sera mis devant vous
- Met peine de vivre en sorte qu’ il apporte quelque profit a la societe commune des hommes
- Mettant arriere ceste consideration particuliere de donner repos au corps
- Mettons le cas, Simon, que le fardeau des pechez, desquels Dieu t’a descharge fust petit
- Moise et Elie ne sont pas lors ressuscitez pour eux, et pour le regard de la resurrection derniere
- Mon enfant
- Mon messager, ou, Angel
- Monstre que leur conscience les redarguoit
- Ne conviendroit a homme vivant
- Ne devoycnt estre receus a participer aux choses sacrees appartenantes au sarvice de Dieu
- Ne laisse pas d’espouvanter asprement, et navrer au vif le coeur de ceste femme
- Ne passent autrement les autres pour leur monstrer le chemin
- Ne permettant qu’il enfondre du tout en l’eau, et se noye
- Ne seront pas toutesfois tenus coulpables de ce grand crime duquel il est ici parle
- Ne s’amenderont point, mesmes quand les morts viendroyent parler a eux, et les advertir
- Ni autre passe-temps et amusement vain
- Non pas seulement pource qu il a lors este enleve et comme retranche du milieu des hommes
- Non point par trahison, et pour surprendre Christ
- Non seulement prend plaisir a un fol passe-temps
- Nous n’y perdons rien
- N’a pas eu cependant sa bouche close
- N’aura point de remission eternellement
- N’ont point de honte de condamner
- On la nommoit Cesaree de Philippe
- On pourroit demander qui a empesche qu’il ne se soit entremis d’oster toute occasion de debat entre deux freres
- On void bien que la ce mot De
- Or comment pourroit on arguer
- Or voyci il y avoit une femme de la ville qui avoit este de mauvaise vie, laquelle ayant cognu qu’il estoit assis a table en la maison du Pharisien, apporta une boiste d’ongnement
- Ou il y en a deux ou trois assemblez
- Ou par force et violence, ou par quelque ruse et moyen subtil
- Oui, (dit-il,) il payera
- Par ton Nom
- Par une desfiance et facon perverse de douter
- Pareillement il leur disoit une similitude
- Parquoy iceux seront vos iuges
- Parquoy il est besoin de mettre quelque distinction, et recognoistre qu’il y a divers degrez d’amour en Dieu
- Pensez-vous qu’il trouve foy en terre
- Pour avancer la gloire de son nom
- Pour conquester ce royaurae
- Pour conquester un royaurae
- Pour dedier et eonsacrer les personnes
- Pour estre mocque, et flagelle, et crucifie
- Pour la derniere et souveraine raison, et pour Justice parfaite
- Pour l’amour de moy et de l’Evangile
- Pour refuter l’imagination que Pierre avoit en son corveau
- Pour reprimer les murmures de ces gens
- Pour retirer le commun populaire d’une folle presomption, a cause qu’en apparence externe ils faisoyent quelque profession de l’Evangile
- Pour se rebequer et heurter directement
- Pour sonder ce qui y est
- Pour subvenir aux necessitez de ceste vie
- Pource que ie me tien maintenant dans mes limites, et ne veux point passer l’office d’expositeur
- Pource que tous non seulement sont bien aises de se retirer de Christ, mais aussi tachent malicieusement d’entrouver les moyens
- Pource qu’il est le Heraut marchant devant Christ pour luy faire honneur
- Pource qu’il estime plus obeissance que tous les sacrifices du monde
- Pource qu’il leur permet de s’en passer, et leur baille un privilege par dessus les autres
- Pource qu’il se voit estre bien pres du but de sa course
- Pource qu’ils ne scavent point quel est le droit et legitime usage des creatures de Dieu
- Pource qu’ils sont enveloppez de ie ne scay quelle ombre de sainctete
- Pource qu’on ne leur donnoit non plus qu’aux derniers
- Pourtant Tyr et Sidon seront plus doucement traittez au Iugementque vous
- Pourtant que ceste vefue me donne fascherie
- Pourtant que sa face estoit tournee pour aller en Ierusalem
- Poutrtant que ceste-ci aussi est fille d’Abraham
- Pouvoit bien, s’il eust voulu, s’exempter de la suiection des princes terriens
- Puis recueillerent le residu des pieces des pains
- Quand Christ vient au monde sans pompe exterieure
- Quand Iesus ent acheve ces similitudes-ci
- Quand Iesus eut acheve de donner mandemens a ses douze disciples
- Quand celuy qui estoit du tout esgare tourne bride pour commencer a bien faire
- Quand il dit que tout cela se faisoit afin que ce qui avoit este dit loaf le Prophete fust accompli
- Quand ils disoyent, Fils de David
- Quand ils s’employent a oeuvres qui tendent a l’honneur de Dieu
- Quand la peine n’est pas a mort (comme est l’excommunication
- Quand les Apostres furent retournez
- Quand on ne derogue rien a la reverence deue, a Dieu
- Quand un homme ne boira point de vin
- Quant a ceux qui disent que c’est un endurcissement jusqu’a la mort
- Quant au royaume des cieux
- Quant aux trois nuits,
- Que Christ a cognu ce qui estoit cache dedans leur coeurs
- Que Christ a este donne pour liberateur au genre humain, miserable et perdu
- Que Christ ne leur monstre aucun signe d’enhaut qui soit pour seelet ceste doctrine
- Que Doute et Crainte ne peuvent avoir lieu ou la foy regne
- Que Pierre s’arreste a la sagesse de l’homme
- Que Tyr et Sidon seront plus doucement traittez
- Que ceste facon de compensation n’est point honneste, ne selon Dieu
- Que ceux de Sodome seront traittez plus doucement
- Que c’a este pour sonder et descouvrir un vice cache
- Que c’est folie aux hommes d’attendre deliverance, si Satan n’est premierement mis bas en choquant a bon escient contre luy
- Que c’est un peche qui battaille directement contre la gloire de Dieu
- Que c’estoit de Iean Baptiste qu’il leur avoit parle
- Que c’estoit un prince ou seigneur; c’est a dire, un homme d’estat et de grande authorite
- Que de se mettre en une telle necessite et suiection
- Que d’heure en heure la vie est ostee aux hommes
- Que la crainte de Dieu qui est es hommes, se monstre par l’obeissance de la foy
- Que le Messias regneroit a la facon des princes terriens
- Que le coeur de l’homme est le siege et la source de tous maux
- Que le mari qui se separe d’avecques sa femme rompt le lien dupuel Dieu estoit autheur
- Que les exercices de piete ne sont point contraires les uns aux autres, mais s’accordent bien ensemble
- Que nous venons a oublier la vie eternelle
- Que nul n’osoit parler de leurs vices, et les condamner
- Que par les miracles ils n’ont point esmeus pour se convertir a repentance
- Que pour voir de beaux vestemens et autres choses agencees bien proprement il faut plustost aller es Cours des Rois
- Que quand, laissans Christ, et nous esloignans de luy, nous attirons c’est hoste a nous
- Que quelqu’un a trouve et cache
- Que rien luy peust advenir qui ne fust honorable et magnifique
- Que s’il fait fruict, ‘bien:’ sinon tu le couperas ci-apres
- Que tout ce que Dieu a determine est bon et droict
- Que toute autre herbe
- Que toutesfois on retiene tousiours ceste liberte de reprendre ce qui est a condamner
- Que toutesfois, en les destruisant et damnant, il n’a rien fait qui empesche qu’il ne soit tousiours recognue iuste en sa punition et sa vengeance
- Que voulez-vous faire
- Que ‘quelques uns’ me recoyvent
- Quel besoin estoit il qu’il prinst sa resolution, et par maniere de dire s’obstinast en soy-mesme
- Quelle sera hors de ce monde la condition de ceux
- Quelque goust de piete et vraye religion
- Qui abbayent contre sa gloire, comme chiens mastins
- Qui avez persevere avec moy
- Qui avoit este present au miracle
- Qui cherche de bonnes perles
- Qui estoit pour lors comme enclos en un anglet au pays de Iudee
- Qui fait que les hommes se me cognoissent
- Qui feit l’homme
- Qui meritent dix mille morts
- Qui ne pensent point qu’il soit bon de s’adioindre a la compagnie des fideles, sinon que tout y soit pur comme entre les Anges
- Qui ne sera point scandalize, ou offense,
- Qui nous rende agreables a Dieu
- Qui pent donc estre sauve
- Qui persevere courageusement iusqu’a la fin
- Qui peut comprendre ceci
- Qui reietteront la discipline, et n’y voudront ployer le col
- Qui se plaisent et fiattent en leurs vices
- Qui seront nourris de Dieu
- Qui tremblans a cause d’un vray sentiment de leur pechez, recourront a sa seule misericorde
- Qui t’a apporte certitude de salut
- Qui une fois s’estoyent endurcis
- Qu’a la verite il a observe et entretenu en toute sainctete l’ordre qui est entre les hommes
- Qu’elles soyent meslees avec sa Parole, et mises en mesme rang, comme si quelque partie du service de Dieu gisoit en icelles
- Qu’il eust quelque entree en la Cour, et que le Roy l’eust aucunement agreable
- Qu’il fait aigrir et lever une grande quantite de paste
- Qu’il n’a rien demande au Roy pour se faire valoir, ou pour monstrer son credit
- Qu’il n’y a point de folie plus grande, que de debattre d’une chose qui n’est point
- Qu’il n’y a que le bon plaisir et vouloir de Dieu qui soit cause de ceste diversit
- Qu’ils apprenent de porter patiemment la longue attente
- Qu’ils gardent ceste cognoissance pour eux-mesmes seulement
- Qu’ils n’allassent plus chercher des cavillations et moyens obliques pour luy resister
- Qu’ils n’ont pas la patience d’attendre que Dieu monstre ce qu’il vent faire
- Qu’on separera l’yvroye d’avec le bon ble
- Reietterent le conseil de Dieu
- Rendit graces
- Resplendissant comme un esclair
- Ressemble aucunement a la foy
- Restreint nommement a la Premiere Table de la Loy ce peche contre l’Esprit
- Retourne pour demander pardon a son pere
- Sa coustume estoit de se trouver
- Sans que nous en soyons dignes, ou l’ayons meritd
- Scait-il gre a ce serviteur-la
- Seigneur, aye pitie de toy
- Selon les conventions contenus en la Loy
- Selon son apprehension carnale et grossiere
- Sera bien pour le moins aussi debonnaire envers nous
- Seulement en confessant sa faute, et demandant pardon
- Si ces deux vices n’y estoyent, qui gastent tout
- Si elle eust mieux fallu que sa mere
- Si est-ce toutesfois qu’elles sont obscures et enveloppees, quand on continue tousiours la metaphore sans rien y entremesler
- Si inhumains et mal-gracieux
- Si on demande d’ou venoit un tel privilege et honneur aux Apostres plustost aux autres
- Si par ce moyen qu’il est maintenant ci, maintenant la, il faudra qu’il eschappe sans rien payer
- Si vous le voulez recevoir, ou, et si vous voulez recevoir
- Signifient du tout une mesme chose
- Simeon disoit selon l’affection de tours les Peres
- Simon, fils de Iona
- Sinon qu'il ait accompli toute la loy de poinct en poinct
- Sinon qu’ils adioustassent a la parole de Dieu quelques repetasseries de leur invention
- Sous couleur de ce que Christ dit
- Sous la couverture des choses yci recitees
- S’enclinant a luy
- S’estonnerent grandement
- S’il est trouve qu’ils n’ayent en aucun soin d’exercer charite envers leurs prochains, et n’ayent pense qu’a despendre en tout exces et a leur plaisir, les biens de Dieu
- S’il s’astreigne a n’estre point marie
- Ta condition n’en est pas pire; car ie te garde tousiours ton droict entier
- Ta foy t’a guairi, ou, sauve
- Tant que nous sommes en ce monde
- Tellement qu’ils n’avoyent pas mesmes loisir de manger
- Temporels, c’est a dire, de petite duree
- Tous ceux qui semblent s’estre rangez sous son enseigne
- Tout ce passage revient a ces deux points
- Tout ce que bon leur semble
- Tout ce qu’il avoit eu du pere
- Tout ce qu’ils avoyent fait et enseigne
- Toute sorte de peche et blaspheme
- Toutes choses que vous lierez sur la terre
- Toutesfois ceste doctrine ne laisse pas tousiours de retentir en son coeur
- Toutesfois ils appetent d’avoir la louange d’estre magnifiques et liberaux
- Toutesfois la haine enragee qu’ils ont contre Christ, surmonte toutes leurs autres meschantes affections
- Toutesfois mesmes en ceste cachete, (par maniere de dire
- T’assiegeront de rempars
- Un Christ faict a la fantasie des hommes
- Un diable qui estoit muet
- Un homme vestu de precieux vestemens
- Un iour du Sabbath
- Un pris conveml
- Un prophete n’est deshonore
- Une couronne royale
- Une excuse bien modeste et honneste
- Une folle et inconsideree imitation des saincts peres
- Une mesme guairison corporelle
- Vestu de precieux vestemens
- Veu que le remerciment presuppose tousiours qu’on ait avant receuquelque bien
- Veu que l’horreur d’iceluy nous devroit a tous faire dresser les cheveux en la teste
- Veu qu’elle n’est appuyee et fondee qu’en des apparitions et vaines imaginations d’aucuns cerveaux esventez
- Veu qu’il ne cognoist point l’infamie de la vie de ceste femme qui estoit notoire a un chacun
- Veu qu’il n’a pas voulu recevoir l’admonition qui luy a este faite en prive par deux ou trois
- Veu qu’il n’y perd rien
- Veu qu’il se haste pour s’y presenter de son bon gre, et seachant bien ce qu’il avoit a endurer
- Veu qu’ils n’esperoyent point de sentir aucun secours de sa vertu
- Vienent incontinent a tempester, pource quil leur fasche que Dieu ait le dernier mot
- Voire s’i1 est possible de tant souffler la glace, qu’on la face flamber
- Vous ne pouvez servir a Dieu et aux richesses
- Vous y venez ainsi qu’a un combat de petits enfans, et comme s’il n’estoit question que de s’escarmoucher pour passe-temps
- Voyans nos freres estre tirez de la mort, et ramenez au chemin de vie
- Voyans que le propos n’avoit pas este bien prins, il leur semble avis que Christ a respondu peu autrement qu’il ne faloit
- Voyla comme il y a bien a regarder comment on couche ou on deduit un propos
- Vray est que le mot CAMELUS, dont a use l’Evangeliste, significant un chameau qu’un chable: mats i’aime mieux le prendre en la derniere signification pour une grosse carde de nayire
- Vray est qu’entre les commandemens ceux qui parlent de la recognoissance que nous devons a Dieu tienent le premier degre
- Vray est qu’il pouvoit sembler que c’estoit un ieu de petits enfans
- [C’est pource que] nous n’avons point prins de pains
- en un autre passage
- franc
- la livre Parisis
- livre
- par vostre ordonnance
- pourtant qu’il l’a recouvre
- une livre Parisis